الكاتب: adminMirath

  UNE  SI LONGUE HISTOIRE  ENTRE TLEMCEN  ET  L’ANDALOUSIE Mohammed BAGHLI Près de Huit siècles d’Histoire commune à Tlemcen et à l’Andalousie attendent que des sentiers d’échanges et de rencontres soient établis pour préparer un troisième millénaire de compréhension, de paix, de fraternité et de synthèse des civilisations de notre Occident. Ces sentiers d’échanges et de rencontres définiront les mille et un projets potentiels pour faire épanouir les générations futures dans les richesses communes de leur patrimoine. C’est de Tlemcen qu’est parti en  710-711 de l’ère chrétienne soit l’An 92 de l’Hégire, TARIK IBN ZIYAD, pour Tanger d’abord et de là,  pour l’épopée de l’Andalousie. Pourquoi toutes les littératures nous escamotent le point de départ où séjournait Tarik Ibn Zyad et qu’en est-il de tous les éléments de sa tribu de Walhasa qui l’accompagnèrent dans ce périple? C’est aussi à Tlemcen que finit ses jours un des derniers rois de Grenade, l’oncle du Boabdil, et ce, un 6 Mai de l’An 1494 de l’ère chrétienne. Nous savons que son épitaphe a fait l’objet d’un transfert à l’exposition universelle de Paris.. Mais le Musée de Tlemcen n’a jamais récupéré cette pierre tombale, ni il ne s’en est inquiété de toutes ces pièces qui sont confiées à des expositions et qui ne reviennent jamais. Mais c’est en Castille que se sont réfugiés les descendants du dernier Roi des Beni-Zyane de Tlemcen,...

الصلات الثقافية و الفكرية بين قسنطينة و تلمسان  بقلم د.عبد العزيز فيلالي résumé   Constantine et Tlemcen comptent parmi les villes les plus anciennes d’Algerie. Elles  se convertirent à l’islam avec l’arrivée d’Alou Muhajir Dinar et depuis ce temps là, elles ont entretenu des relations culturelles, intellectuelles et mystiques puisées à la source de l’islam et auxquelles ont contribué aux moyen-âge, des hommes de science de ces deux villes tel que El- Fegoun,El-Malary, Ibn-Gounfoud, Ibn-Badis, Ibn-Khelouf, Ibn-Marzoug, El-Mekri, Cherif-Telemceni. A l’époque ottomane ces relations entre les hommes de science des deux villes  se sont perpétuées ainsi Bouabdellah Mohamed ben Badis  et Ahmed El Mekri de Tlemcen  entretenaient une correspondance autour de questions intellectuelles et linguistiques. Comme il existe jusqu’à ce jour dans la ville de Constantine une zaouia qui porte le nom de (Sidi Ali Tlemceni). Pendant l’occupation française le grand érudit Abdelkader El Majaoui de Tlemcen est venu à Constantine où il s’est installé comme enseignant et animateur de la  renaissance spirituelle, scientifique et réformiste. Le leader de la renaissance islamique en algerie, l’imam Abdelhamid Ben Badis rendait souvent visite aux gens de Tlemcen et avait beaucoup d’affection pour cette ville ou il  inaugura (Dar el Hadith) et d’où il rédigea un appel  aux constantinois en particulier et aux algériens en  général afin de boycotter la célébration du centenaire de la prise de Constantine. ان دراسة المدن ، تتطلب...